« Siné Mensuel » visé par des menaces de mort
La rédaction a reçu cinq lettres signées de l’ancien groupe d’extrême droite du GUD.
Le journal satirique Siné Mensuel a porté plainte après avoir reçu le 26 mai 2020 des menaces de mort visant certains de ses collaborateurs à travers cinq lettres signées du GUD, ancien syndicat étudiant d’extrême-droite, et postées en Indre-et-Loire. « Après Charlie, Siné », disait notamment l’une d’elles. Le mensuel avait déjà reçu des menaces et avait été cambriolé en 2008.