MONA AGENT X – Tome 1. Premières armes

Une jeune fille sexy mais sage se retrouve dans le milieu du X. Un porno gentil qui ne tient pas la route.

Sous ses formes plantureuses, Mona cache une naïveté désarmante. Participante à un jeu de télé-réalité, elle se retrouve à tourner un film porno à son insu! Quel est le rapport avec le « agent X » du titre ou le flingue qu’elle porte en couverture? C’est justement la question qu’on se pose encore.

On veut bien admettre (et encore) que dans un scénario de BD érotique, le mot « érotique » est tout aussi important que le mot « scénario »…. Mais si les planches sont avant tout prétexte à développer une vaste palette de scènes porno, on s’attend à un minimum de cohérence. Sur les quarante premières planches, le scénario semble pourtant construit (les désillusions personnelles et professionnelles de Mona) même si l’on ne voit pas le rapport avec le titre. Et soudain, dans les six dernières planches, c’est sans préliminaire aucun que la scénariste Betty Hopkins – dont on nous dit qu’elle mena une vie sulfureuse dans les milieux X de Los Angeles – transforme Mona l’oie blanche en Mona la James Bond girl du sexe… Pourquoi, comment? La suite le dira peut-être mais en attendant c’est plutôt… coïtus interruptus!

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