LA MORT DE STALINE – Tome 1. Agonie

La mort de l’un des pires dictateurs de l’Histoire romancée avec cynisme et humour.

Le 28 février 1953, à Moscou, la radio retransmet en direct le concerto pour piano nº 23 de Mozart. Staline en réclame une copie. Mais quand il reçoit le disque, c’est accompagné d’un mot écrit secrètement par la soliste Maria Ioudina, hostile au dictateur. Après avoir lu son contenu, il écoute l’oeuvre et… tombe, foudroyé par une attaque cérébrale.

Les auteurs avertissent le lecteur en préambule: bien qu’inspirée de faits réels, « La mort de Staline » est une fiction. Reste que les auteurs n’ont pas eu à chercher bien loin: la terreur inspirée à tous par Staline, les médecins envoyés au goulag, le respirateur artificiel seulement compatible avec les prises américaines, les ambitions politiques, tout ceci est véridique ou vraisemblable et explique que les principaux membres du comité central soviétique aient mis autant de temps à essayer de sauver le petit Père des peuples. Il s’ensuit une succession de pages hallucinantes, sur le ton de la comédie, contrastant avec le dessin anguleux et sombre de Robin.

« La mort de Staline » est prévue en deux tomes. La guerre des prétendants au Kremlin est lancée…

Dargaud

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