EDIKA – Tome 28. Aïe Woze Djoking

Une succession de gags dans le pur style Edika, la couleur en plus.

Mais comment Olga qui ne voulait pas parler à sa tante Peggy au téléphone finit-elle par se retrouver héliportée, coincée dans un bloc de plâtre ? Comment un quidam victime d’un couvercle de WC récalcitrant finit-il par devenir l’auteur d’un attentat particulièrement lâche ?

Ne nous le demandez pas, un album d’Edika, même si c’est le 28e, reste impossible à résumer. Et à chaque fois, l’anecdote la plus banale prend des proportions gigantesques et devient une histoire délirante à souhait.
Composé de sketches de diverses longueurs – entre 2 et 10 planches -, ce nouvel album met en scène comme toujours la famille Bronsky, le père dessinateur, la mère Olga, le fils Nini, la fille et le chat Clark Gabeul. Une même histoire est généralement composée de plusieurs gags successifs d’un humour parfois douteux certes mais où l’imagination d’Edika ne se dément pas. On ne s’ennuie pas pour peu qu’on ne soit pas réfractaire au style graphique d’Edika, ses héros au nez monstrueux franchement pas sexy, ses héroïnes vulgaires aux décolletés avantageux…
particulièrement lâche ?

Et pour les lecteurs qui ont dû mal à rentrer dans une bande dessinée en noir et blanc, bonne nouvelle: « Aîe Woze Djoking » est en couleur !

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